Nul besoin de partir loin pour se mettre au vert et au frais.

En plein cœur du centre-ville le Vallon des Rigolettes est un lieu de ressourcement sans pareil. Dans ce parc arboré de 4 ha, gagnez quelques degrés à l’ombre des arbres, les pieds dans l’herbe ou profitez d’une belle balade le long du chemin qui vous mènera jusqu’au boulevard des Neuf-Clés.

Il y en a pour toutes les envies : pique-nique, repos au calme, jeux pour les enfants, vélo.

Les amoureux et connaisseurs des plantes ne seront pas en reste. Des arbres singuliers valent la peine d’être observés :

  • Le « désespoir des singes »
    Cet arbre est un Araucaria du Chili, nommé ainsi d’après une tribu indienne, les Araucans. Il fut ramené en France pour la première fois en 1837. Entièrement recouvert d’écailles très dures, il a été surnommé « le désespoir des singes » par Anatole France qui imaginait l’attitude des primates devant ce curieux spécimen.
  • Un cyprès d’Alaska
    A l’extrémité du Vallon, côté boulevard des Neuf-Clés, vous pouvez contempler ce magnifique Chamaecyparis Nootkatensis, ou cyprès de Nootka du nom d’une péninsule située en Alaska, terre d’élection de l’espèce, et ses drapés tombants.
  • Le plus vulnérable
    Ce sapin d’Espagne (Abies pinsapo), situé à l’extrémité du Vallon du côté centre-ville, est le plus ancien arbre des lieux. Planté en 1920, il appartenait à l’origine au parc d’une propriété privée.

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